Archives de la catégorie ‘Vadrouilles’
L’Armada de la Liberté 2013 Leave a comment
Week-end prolongé en Alsace Leave a comment
Le pont de l’ascension nous a permit de faire une balade en Alsace
Tant pour voir ma famille que pour faire découvrir à Philou des coins sympas.
– Le Musée National de l’Automobile (collection Schlumpf)
Située à Mulhouse en Alsace, la Cité de l’Automobile – Musée National –
Collection Schlumpf – est le plus grand musée automobile du monde.
Visitez ce musée exceptionnel créé par Fritz Schlumpf, récemment
modernisé et agrandi, qui s’étend sur plus de 25 000 m². Découvrez avec
une visite audioguidée 400 modèles historiques, de prestige ou de
course, qui racontent l’histoire de l’automobile, dont les fameuses
Bugatti Royales. Des animations tous les jours pour les familles. Un
grand musée, une grande collection, un grand moment.
Superbe balade en s’émerveillant de toutes ses superbes voitures de collection
Musée National de l’Automobile
– Le Château du Haut Koenigsbourg
Haut-Kœnigsbourg a tous les atouts d’une forteresse : une position
stratégique relativement facile à défendre autrefois et aujourd’hui un
panorama exceptionnel sur plaine d’Alsace, les Vosges, la Forêt-Noire et
parfois même les Alpes.
habitations complètement aménagées et meublées, ses collections d’armes
du Moyen Âge, pour monter en haut de son donjon et du grand bastion.
Le Château fut aussi le cadre du film La Grande Illusion film de 1937 de Jean Renoir avec Jean Gabin et Erich Von Stroheim.
Le Château du Haut Koenigsbourg
voir albums des mêmes noms
Chris & Phil
* Bayonne * Leave a comment
Souvenirs de Honfleur 3 comments
http://www.kizoa.fr/i-Contact/sflex.swf?fmode=5&did=262512&kc=9465718
Petit diaporama réalisé avec nos photos "Honfleur"
La situation privilégiée de Honfleur aux portes du Pays d’Auge et de la Côte Fleurie offre en toute saison un lieu de séjour idéal.
La petite cité maritime vous invite à la découverte de ses ruelles pittoresques et de ses vieilles maisons au coeur d’un secteur sauvegardé de 37 hectares créé en 1974.
A la fois port de pêche, de commerce et de plaisance, la ville a su préserver et mettre en valeur un riche patrimoine historique et artistique.
pour en savoir plus : http://www.ot-honfleur.fr/
Enfin le week-end… Leave a comment
L’Abbaye St-Georges de Boscherville Leave a comment
Fondée au XIIème siècle sur une ancienne collégiale par Guillaume de Tancarville, grand chambellan du duc de Normandie, l’abbaye Saint-Georges accueillit des moines bénédictins jusqu’à la fin du XVIIIème, un décret de la Convention de 1791 interdisant alors son occupation.
Echappant aux ravages de la Révolution, elle fut transformée en filature, mais doit surtout sa survie à l’effondrement de l’église du village : les messes furent alors célébrées au couvent.
L’abbaye Saint-Georges fut construite avec une parfaite unité, à l’apogée de l’école romane normande. Sa belle église attire tous les regards, avec son architecture et ses proportions harmonieuses. Sa façade équilibrée comprend un beau portail à motifs géométriques.
Une harmonie que l’on retrouve aussi à l’intérieur… Elégants et massifs, les piliers de la nef sont reliés par des arcades romanes. Le chapiteau du pilier soutenant le transept est décoré de motifs végétaux, animaliers et humains.
sources : http://www.jedecouvrelafrance.com/f-2227.seine-maritime-abbaye-saint-georges.html
L’Abbaye de Jumièges 1 comment
Fondée en 654 par Saint Philibert, l’abbaye de Jumièges connaît un fort essor et accueille jusqu’à 800 moines avant d’être incendiée en 841 par les Vikings. Au Xème siècle, le duc Guillaume Longue Epée la relève de ses ruines.
Restaurée, l’église abbatiale est consacrée en 1067 au lendemain de la conquête de l’Angleterre, par l’archevêque de Rouen et en présence de Guillaume le Conquérant.
Les constructions entreprises du XIIème au XIVème siècle témoignent de son rayonnement. Aux XVème et XVIIème siècles, le mobilier et les bâtiments sont fortement enrichis. Mais les derniers moines se dispersent à la Révolution, l’abbaye est vendue à un marchand de bois qui en fait une carrière. Les ruines sont sauvées en 1852 par un nouveau propriétaire.
De l’église Notre-Dame vous pouvez voir l’imposante façade flanquée de deux tours qui encadrent le porche d’entrée. La nef, entière, est restée debout, avec une partie du transept et du chœur. Le passage Charles-VII dessert la petite église Saint-Pierre.
Vous remarquez l’emplacement de la salle capitulaire, la sacristie des reliques, le cloître, le cellier…
Un escalier du XVIIème siècle vous mène à la grande terrasse et aux jardins. Enfin, ne manquez pas le majestueux logis abbatial du XVIIème siècle.
Le Château de Pierrefonds Leave a comment
Quand on parle du château de Pierronfonds, il n’est pas rare d’évoquer la "folie romantique de l’Empereur"…
Le château de Pierrefonds fut entièrement reconstruit sur ordre de Napoléon III selon les instructions de Viollet le Duc…
A la fin du XVIIIème siècle, l’arrogant château de Pierrefonds n’est plus que ruines… mais d’imposantes ruines qui forcent l’admiration notamment de Napoléon Ier. Il fait racheter les ruines en 1813, il faut attendre 1848 pour que soient entrepris les premiers travaux dits de "restauration pittoresque" avant que ne commencent la complète reconstruction !
Certaines libertés architecturales sur la partie sud du château ont été prises par Viollet le Duc, mais dans l’ensemble, cette reconstruction permet d’avoir un témoignage fort intéressant de l’architecture du Moyen Age : chemin de ronde, mâchicoulis, archères, grosses tours.
L’intérieur du château fait passer le visiteur du Moyen Age à la Renaissance avec une cour d’honneur décorée de gargouilles, de galeries à arcades… Quant à la décoration des pièces, elle révèle le désir de légitimer l’Empire en utilisant des symboles forts : l’aigle, l’abeille…
Poissy et sa Collégiale Leave a comment
Malgré de nombreuses transformations et restaurations, cette église du XIIe siècle constitue l’un des rares témoins dans notre région de la transition du roman vers le gothique.
La silhouette de la collégiale est originale en raison de l’alignement de ses deux clochers romans de forme octogonale. Le chœur, qui n’est pas dans l’axe de la nef, est orienté dans la direction du soleil levant le 15 août, jour de la dédicace de l’église à Notre- Dame de l’Assomption.
A l’extérieur, le bestiaire fantastique des gargouilles domine le porche du XVe siècle dont il faut admirer les deux tympans : celui de droite représente des putti chevauchant des monstres marins, celui de gauche une évocation symbolique de l’Annonciation : des rayons droits et courbes descendant du Ciel , accompagnés d’une colombe, et un vase avec trois fleurs de lys rappelant la virginité de Marie.
À l’intérieur, les chapiteaux les plus anciens se trouvent dans les deux dernières travées nord : leur iconographie (bestiaire fantastique, motifs végétaux…) est typiquement romane. Les quatre chapiteaux du chœur ont été sculptés en 1150. Nombreux sont les trésors légués par des siècles d’histoire : les pierres des fonts baptismaux de saint Louis, des pierres tombales originales, une chapelle ornée de splendides boiseries début XVIIIe, la chaire à roulettes du couvent voisin des Ursulines, un orgue Cavaillé-Coll- Mutin.
Cette église porte le nom de collégiale car elle fut confiée, du XIIIe siècle à la Révolution, à un collège de chanoines. Elle a beaucoup souffert au cours des siècles (guerre de Cent Ans, guerres de Religion, Fronde).
Église paroissiale et lieu de baptême de saint Louis (le 25 avril 1214), elle fut choisie par les pisciacais après la Révolution de préférence à la belle église Saint-Louis du Prieuré Royal (début XIVe). Au XIXe siècle, elle est sauvée par plusieurs campagnes de restauration, celle de Viollet-le-Duc étant la plus connue.
De très belles statues invitent à la contemplation : Isabelle de France, fille de saint Louis, provenant de la priorale, est l’œuvre des sculpteurs de Philippe le Bel (1300) ; un saint Jean-Baptiste imposant désignant l’Agneau dans un cercle, symbole d’éternité (XIVe) ; une sainte Barbe joliment hanchée qui a conservé sa polychromie (XVe) ; une étonnante Mise au Tombeau du XVIe ; Notre- Dame de Poissy, inspirée du sceau des chanoines de la collégiale, due au ciseau de la duchesse d’Uzès (1892) ; un saint Louis adolescent, œuvre du sculpteur Félix Févola (1939)…
sources : http://www.ville-poissy.fr/pages/articles/fiche.php?s_code=ACollegialeNotreDameDescriptif
Chris & Phil (et inversement)